/* Impression partielle . Aaaf Côte d'Azur: juin 2010

mercredi 30 juin 2010

Le BEA - La prévention aéronautique au quotidien

Conférence de Guilhem Nicolas et François Hochart
BEA – Aix-en-Provence

Mercredi 30 juin 2010 à 17h30
Aéroport de Cannes-Mandelieu
Salle Saint-Exupéry




Le Bureau d’Enquêtes et d’Analyse, ex Bureau Enquêtes-Accidents, est un organisme étatique chargé d’effectuer les enquêtes sur les accidents et incidents aériens graves survenu dans un espace relevant de la juridiction française.
Le BEA désigne également les représentants accrédités chargés d’assister les organismes étrangers enquêtant sur des accidents d’aéronefs construits ou immatriculés en France ou dont une forte proportion de passagers était française. Son domaine d’action s’étend de l’ULM à l’Airbus A 380 en passant par la Montgolfière ou l’hélicoptère.
Une enquêtes du BEA vise à déterminer les causes techniques d’un événement afin d’émettre d’éventuelles recommandations susceptibles d’en éviter le renouvellement. Ces recommandations s’adressent généralement aux principaux acteurs aéronautiques tels que constructeurs, opérateurs, utilisateurs, chargés de maintenance etc. Les rapports du BEA sont publics et peuvent être consultés sur un site internet dédié.
L’enquête du BEA ne recherche pas les responsabilités pénales ou civiles, celles-ci restant du ressort de la Justice. Elle est indépendante de l’enquête judiciaire.
Le BEA comprend une centaine de personnes d’origines et spécialités très diverses. Son siège central est situé au Bourget. Il dispose également de cinq antennes régionales à Aix, Bordeaux, Lyon, Rennes et Toulouse.
François Hochart

En cliquant sur le titre, voir ce que dit Wikipédia du BEA


mardi 8 juin 2010

PAN, UFO et autres OVNI

Conférence de

Alain Boudier
AAAF Paris – Commission PAN-SIGMA

Serge Tinland
Projet Phenix – Cannes

Mardi 8 juin 2010 à 18h.
Auditorium du Spacecamp Thales-Alenia Space
Allée des Cormorans – Cannes-la-Bocca

La France est le seul pays où la collecte des Phénomènes Aériens Non-identifiés (PAN) et l’étude scientifique ont été confiées à partir de 1977 à un organisme civil officiel, le CNES via un groupe d’études, le GEPAN. Les sources d’information du groupe proviennent principalement de protocoles d’accord signés avec le CNES, la Gendarmerie Nationale, la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC), l’Armée de l’Air et Météo France.

Depuis 2005, le GEPAN a ajouté à ses missions classiques une composante informationnelle en devenant le Groupe d'Études et d’Informations des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés (GEIPAN).

La commission SIGMA/3AF

AAAF, en tant que société savante dans les domaines aéronautique, spatial et de défense, s’est donc sentie tout particulièrement concernée par ces phénomènes si « singuliers » et a entendu pouvoir répondre de la manière la plus objective possible à un certain « flou » d’information. C’est ainsi que sous l’impulsion de son président, Michel Scheller, il a été décidé de créer un groupe de réflexions spécifiquement dédié à cette question et de mettre sur pied la commission 3AF/PAN devenue récemment SIGMA/3AF.

Depuis 2 ans, les travaux de cette commission avancent significativement tout en recherchant la meilleure articulation possible avec les organismes officiels existants tels ceux mentionnés plus haut. Son activité se traduit par la publication d’articles, dans la lettre de la 3 AF, dévolus aux témoignages de première main, à des analyses de documents officiels de tous ordres, à des synthèses de sources diverses dont Internet ainsi que des conférences à travers la France et des interventions à la radio.

Alain Boudier, président de la commission Sigma, aura l’honneur et le plaisir de vous présenter un premier aperçu de ses travaux ; ce sera le premier volet de cette conférence. L'intégrale de ce rapport est lisible en cliquant sur le lien suivant.


Le projet Phenix sur la Côte d'Azur

Le deuxième volet de la soirée traitera du même sujet mais dans un contexte beaucoup plus local : il s’intéressera aux phénomènes étranges constatés à proximité du col de Vence, à quelques dizaines de kilomètres au nord de Cannes. Les études de ces phénomènes ont données naissance au projet Phenix dont le président Serge Tinland nous entretiendra. Ce sera la deuxième partie de la conférence.

Le dossier OVNI, UFO (Unidentified Flying Object) et autres PAN, a depuis des décennies voir des siècles, entretenu à la fois l’imagination, la crédulité, la méfiance et l’intérêt d’une partie non négligeable de la population humaine.

Aujourd’hui il semble, suite à une montagne de faits plus étonnants les uns que les autres, que ce dossier soit « le dossier » le plus important d’un point de vue scientifique que le monde n’ait jamais eu à sa portée. Pour avoir une chance de percer ne serait-ce qu’une infime partie de son mystère, il va falloir abandonner nos certitudes sur ce que l’on pensait possible ou pas. Il est donc urgent d’imaginer et mettre en œuvre sur le terrain des moyens qui n’ont pas encore été déployés d’une façon officielle, et ce, afin d’avoir peut-être une chance d’approcher au plus près cette « vérité » qui semble se cacher au travers d’un phénomène aussi troublant qu’insaisissable !

Phenix Project a été pensé en ce sens pour essayer de répondre à certaines questions que pose ce dossier et des objectifs ont été fixés.

L’ouverture d’une ou plusieurs unités mixtes de recherche (UMR) pour tenter de découvrir certains pans de « vérité » sur le dossier UFO, et par là même, peut-être, en apprendre plus sur nous-mêmes, en activant un domaine de la recherche à ce jour totalement sous-estimé et sous-exploité : l’astro-archéologie.

L’astro-archéologie est une branche parallèle, non reconnue, de l’archéologie traditionnelle, ayant pour objectif la recherche et l’analyse d’artefacts anciens, dont la provenance pourrait nous éclairer sur l’histoire réelle de notre planète, son évolution, et de fait, en final, sur les origines de l’humanité.

L’un des axes principaux de recherche du PP, l’axe SETAV (Search for Extra-Terrestrial Artefact and Visitation) ou Recherche d’Artefacts et de Sondes Extraterrestres, serait de rechercher, de découvrir, d’analyser et d’essayer de rétro ingénierer, pour le compte et le bien de l’humanité, les artefacts anachroniques, technologiques ou autres, potentiellement présents sur Terre, dans le sous-sol, dans les mers et océans ou au sein de l’atmosphère terrestre à l’aide de sondes.



Interview de Serge Tinland par FlashEspace


A lire égalementAuteurs : ICDV (ouvrage collectif), Préface de Guy Tarade, Les Invisibles du col de Vence : Enquêtes et révélations sur une zone d'anomalies permanentes, Editions Nerusi, 352 pages dont 16 planches couleurs, format 15x21, ISBN : 978-2-9533017-0-0


Jean Lizon-Tati et Guy Lebègue, d’après Alain Boudier et Serge Tinland
En cliquant sur le titre vous verrez ce que dit Wikipédia des OVNIS